• Actualité Esotemyst

    Mars plus grosse que la Lune le 27 août est un Hoax

    Peut-être n'avez-vous pas reçu le mail annonçant que ce vendredi, la planète Mars serait plus grosse que la Lune, un spectacle supposé être fantastique mais... qui n'aura pas lieu! 

    Ce canular astral n'est pas nouveau, il avait déjà parcouru le web l'année dernière à la même époque et, bien que les deux astres ont effectivement changé de position, Mars ne sera ni plus grosse, ni plus lumineuse que la Lune.

    La planète rouge se situe actuellement à 300 millions de kilomètres de la Terre (contre 55,8 millions de kilomètres lors d'un rapprochement favorable comme celui de 2003), elle se situe donc à un peu plus de deux fois la distance Terre-Soleil.

    Et cela ne risque pas de s'arranger avant un petit moment puisque Mars s'éloignera de la Terre jusqu'au 8 janvier 2011, pour atteindre une distance de 356 millions de km. Si Mars continue son petit tour dans l'espace, la Lune, elle, a pris ses pleins quartiers le 24 et ne passera pas inaperçue.

    (Source : 7sur7.be )

     

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  • Actualité Esotemyst

    Le Web met à mal le monopole des revues scientifiques

     

    Le Web serait-il en train de mettre fin au monopole pluriséculaire des revues scientifiques pour les universitaires ? Oui, répond timidement le New York Times. Longtemps, le seul moyen pour un chercheur de faire valider ses thèses a été de les soumettre pour publication à une revue avec comité de lecture. Cette reconnaissance par les pairs joue un rôle considérable pour l’attribution de postes ou la progression de carrière.

    Mais le Web change la donne. “Cette évolution était derrière la récente décision de la prestigieuse revue Shakespeare Quaterly [spécialisée dans les études des textes du poète et dramaturge britannique] de s’embarquer dans une expérience inhabituelle” explique le New York Times. “Mélangeant méthodes traditionnelles et nouvelles, la revue a posté en ligne quatre essais pas encore acceptés pour publication, et un groupe d’experts était appelé à publier ses commentaires sur le site MediaCommons, un réseau de recherche en ligne.”

    Mais les commentaires étaient également ouverts à tous les internautes, sous réserve de s’inscrire. “A la fin 41 personnes ont fait plus de 350 commentaires, la plupart suscitant à leur tour une réponse des auteurs”, rapporte le quotidien. “Tout cela avant que les essais soient finalement soumis aux éditeurs, qui ont décidé de les publier dans l’édition papier”.

    Cette méthode participative a été beaucoup plus rapide que la méthode classique de relecture par des pairs qui sont souvent anonymes et qui peut prendre des mois. “L’anonymat peut permettre d’éviter les biais personnels, mais rend les relecteurs moins fiables ; l’exclusivité peut garantir le contrôle de la qualité, mais limite le nombre de retours et de participants” énumère le New York Times.

    Pour l’instant, cette méthode reste l’objet d’une petite avant-garde. Les réticences sont grandes parmi les universitaires, qui ne veulent pas forcément voir leur méthode de reconnaissance remplacée par un grand Wikipedia. “Le savoir n’est pas démocratique” lâche ainsi Michèle Lamont, une sociologue de Harvard, au New York Times. “Evaluer l’originalité et l’importance intellectuelle d’un essai ne peut être fait que par ceux qui sont experts dans le même domaine.”

    EDIT 16h15 : Pour faire suite aux commentaires, l’article du New York Times parle en effet prioritairement des “humanités”. Il n’en reste pas moins que la sociologie , par exemple, est une science et que ceux qui la pratiquent accordent de l’importance à la publication dans des revues, qu’on qualifie tout autant de “scientifiques”.

     

    (Source : bigbrowser.blog.lemonde.fr )

     

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  • Les Dangers du Vaccin du Col de l'Utérus (vidéo)

    Un examen de l'innocuité du Gardasil publié dans le journal de l'Association médicale américaine (JAMA) dresse un bilan des effets secondaires de ce premier vaccin contre le cancer du col de l'utérus et d'autres cancers qui touchent les femmes. Selon le document, près de 12 500 jeunes filles ont présenté des effets secondaires après la vaccination. Des cas rapportés, environ 1900 étaient des évanouissements, tandis que 772 ont été jugés sérieux.

    Source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/sante/2009/08/21/001-Gardasil-effetssecondaires.shtml

     

    Les Danger du Vaccin du Col de l'Utérus (video)

     

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    Article Rédigé par : Jacques Lacaze 
                                 Médecin diplômé en cancérologie
     

    Vacciner contre "Le Cancer du Col de l’Utérus" : Une Arnaque

    Mme Riva est journaliste et Spinosa est gynéco-obstétricien suisse ; ils décrivent comment à partir d’une affection plutôt rare, le cancer du col de l’utérus, les firmes en ont fait un problème de santé publique. Ces labos ont utilisé un lobbying forcené avec notamment l’aide d’internet pour « sensibiliser » et « informer » les médecins, les media et les décideurs politiques du mode entier. Vous verrez vous-même ce que représente pour les labos l’information scientifique comme d’habitude tronquée, incomplète, voire fausse.

    On apprend que la protection du vaccin est de 14 à 27 % (p.52), c'est-à-dire ridicule ; que les statistiques sont surévaluées ; que 90% des infections à HPV disparaissent spontanément ; que le coût de la vaccination est absolument prohibitif par rapport aux économies réalisées sur le traitement des cancers du col déclarés ; qu’on a fait disparaître les témoins des études en les vaccinant après l’étude, ce qui supprime toute possibilité de faire des comparaisons plus tard ; que les contrats et lois sur la prise en charge des vaccins par les états étaient signés avant les conclusions des études !

    On a fait croire que le risque pour les jeunes filles d’être infectées par un HPV était de 70 % alors qu’on a montré aux USA qu’une infection à HPV 16 a été détectée chez 1,5 % des femmes et une infection à HPV 18 chez 0,8 % des femmes et que seulement 20 à 25 % de celles-ci , infectées à haut risque, développera un cancer in situ CIN 2 + ou un cancer.

    N’oublions pas que le cancer du col se dépiste très facilement et qu’il se traite dans la civili-sation occidentale très facilement et très efficacement.

    La médecine basée sur les preuves reste encore à trouver et à prouver !

    La lecture de ce livre est obligatoire pour tout médecin ou tout parent d’enfant de sexe féminin, afin que vous puissiez décider en toute connaissance et afin de plus tard être indemne du jugement « coupable et responsable".

     

    Rédaction : Jacques Lacaze  

    Médecin diplômé en cancérologie   

     

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    Complément d'information proposé par le Blogmaster :

    Vidéo : Les Dangers du Vaccin du Col de l'Utérus

     

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  • Actualité Esotemyst

    Etats-Unis: la marée noire est sous-marine

    Une partie du pétrole n’a pas disparu, une immense nappe flotte sous la surface de la mer.

    Alors que l’attention médiatique commence à se détourner de la marée noire provoquée par l’incendie d’une station off-shore de BP, des océanographes ont fait une découverte qui fait office de piqûre de rappel. Ils ont prouvé l’existence d’un important nuage de pétrole provenant du puits exploité par BP, flottant à plus de 900 mètres de profondeur.

    D’une épaisseur de 200 mètres, cette nappe sous-marine s'étend sur au moins 35 km et mesure 1,9 km de largeur, ont estimé les océanographes de la Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI), le plus grand institut mondial privé d'études océanographiques à but non-lucratif.

     

    Le nuage provient bien de BP

    Non seulement nous avons démontré qu'il existe bien un panache de pétrole dans le golfe du Mexique mais nous avons également déterminé son origine et sa composition", a déclaré Richard Camilli, chef de l'expédition scientifique.

    Jusqu'alors ce panache était considéré comme théorique", a-t-il ajouté tout en précisant qu'il n'est pas formé de "pétrole pur" mais contient de nombreux composants pétroliers. Vu l'étendue de la masse de ce "nuage" sous-marin d'hydrocarbures et de résidus, il pourrait "subsister dans l'océan plus longtemps qu'on ne le pensait", a-t-il souligné.

    La fin d’une question

    Cette découverte, qui fait l’objet d’un article dans la revue américaine Science datée du 20 août, met fin à un débat qui faisait rage aux Etats-Unis. Le pays se demandait depuis un mois où était passé le pétrole, la nappe en surface ayant disparu dès la mi-juillet.

    Conduite du 19 au 28 juin à bord d'un navire spécialement équipé, cette expédition scientifique remet donc sérieusement en cause les évaluations très optimistes du gouvernement américain début août selon lesquelles 74% du brut déversés avaient été éliminés par évaporation, bio-dégradation, récupération et autres moyens.

     

    (Source: europe1.fr )

     

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