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    La neige artificielle réussit à évincer Carmen de Jong de son programme de recherche

    Carmen de Jong, universitaire spécialiste mondiale, de l’eau en montagne, directrice scientifique de l’Institut de la montagne, en charge du programme européen Alpes Water Scarce, depuis des années, tirait le signal d’alarme concernant la gestion de l’eau dans les alpes, le changement climatique en montagne,démontrait le danger de la neige de culture....L’université de Savoie, par la voix de son président, le 30 juillet 2010, lui signifiait, son éjection du programme européen qu’elle avait bâti et dont elle assurait la coordination internationale. Il n’a pas souhaité s’exprimer et tiendra une conférence de presse dans les jours à venir sur le sujet de ....l’Institut de la montagne. . Tvnet citoyenne 30 août 2010.

    Les touristes sont heureux de trouver des pistes enneigées pendant leurs vacances d’hiver mais en connaissent-ils le coût ? Depuis quelques années, les stations de ski ne peuvent plus se passer de la neige artificielle dite « neige de culture ». Cette neige représente aujourd’hui - pour l’ensemble des 330 stations françaises - environ 5 300 ha, produits grâce à la transformation de la quantité incroyable de 19 millions de m³ d’eau. D’où vient cette eau ? Comment est-elle stockée ? Quel est l’impact sur l'environnement ? Combien coûtent ces installations ? Que va-t-il se passer avec le réchauffement climatique ?
    Même si vous n’allez jamais au ski, ce sujet vous concerne : il s’agit de l’équilibre hydrologique et de l’avenir de nos montagnes.

    (Source : lavoiximpertinente.com )

     

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    Réputée inviolable, la Sécurité Quantique a été hackée

    Une équipe de chercheurs a réussi à intercepter un message sur un réseau quantique, alors que cette technologie est censée être la plus sûre du monde.

    La cryptographie est la science du secret. La cryptographie «quantique», une discipline mettant en pratique les propriétés de la mécanique quantique dans le but de protéger certaines transmissions de données très sensibles.

    Pour le moment, rien ne permet d'égaler le niveau de sécurité atteint par ces systèmes (cette technologie arrive tout juste à maturité et n'a donc pas été encore largement mise en œuvre). On les a même longtemps pensé inattaquables. C'était sans compter sur l'acharnement de chercheurs norvégiens, allemands et espagnols qui viennent de mettre en défaut les deux principaux systèmes quantiques commercialisés. Leurs travaux sont publiés dimanche dans la revue Nature Photonics.

     

    Lorsque deux personnes veulent communiquer secrètement (on appelle généralement l'émettrice «Alice» et le récepteur «Bob» l'espionne est appelée «Eve»), elles s'envoient des messages codés. Pour les décrypter, il faut que les deux personnes disposent de la «clé» qui permettra de les déchiffrer. Au départ seule Alice la détient. Et il ne faut surtout pas qu'elle soit interceptée quand elle est envoyée à Bob. C'est là que la cryptographie quantique intervient. Alice envoie la clé sous forme de photons émis un par un dans une fibre optique (une prouesse technologique particulièrement difficile). Bob réceptionne ces photons et mesure leurs propriétés. Ce sont elles qui vont lui permettre de reconstituer la clé. Pour s'en emparer, Eve doit elle aussi observer ces photons sans laisser de trace suspecte. Or la physique quantique explique qu'il est impossible d'observer un photon sans en modifier les propriétés. C'est le célèbre principe d'incertitude d'Heisenberg. En d'autres termes, Alice et Bob peuvent, en s'échangeant des informations par un canal standard, détecter immédiatement toute tentative d'espionnage : la cryptologie quantique est théoriquement inviolable.

    Les deux principaux systèmes commercialisés mis en défaut

    Si personne ne peut mettre en défaut la théorie, la mise en œuvre pratique n'est manifestement pas exempte de failles. Les mêmes chercheurs norvégiens avaient en effet montré en 2009 que l'utilisation d'une lumière laser pouvait perturber le détecteur censé donner l'alerte. En émettant un flash très bref, les Norvégiens avaient démontré qu'ils pouvaient «aveugler» ce compteur de photons. En implémentant cette méthode, ils ont réussi à récupérer l'intégralité de la clé sans déclencher la moindre alerte. Il aura tout de même fallu aux chercheurs plus de deux mois pour mettre en place leur «mouchard» sur les deux systèmes de cryptographie quantique les plus commercialisés au monde. Mais l'essentiel est là : la cryptographie quantique est vulnérable.

    «Au final, nos travaux vont permettre de renforcer ces systèmes», appuie Vadim Makarov un des auteurs norvégiens de l'étude. Les chercheurs ont en effet travaillé en étroite collaboration avec la société leader du secteur afin qu'ils puissent apporter des modifications à leur produit avant la publication des résultats de l'étude. «La cryptographie quantique reste le nec plus ultra de la sécurité», conclut le chercheur.

     

    (Source : lefigaro.fr )

     

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    USA: La Catastrophe des OGM, le fléau des Herbes Géantes

    Les champs envahis de mauvaises herbes résistantes aux poisons du Roundup exigeront plus d'herbicides, dans certains cas plus nuisibles à l'environnement.

    Au moment où l'Union européenne s'apprête à approuver la culture des OGM malgré une opposition inflexible généralisée, elle devrait accorder d'urgence de l'attention à la course aux armements agricoles qui se déroule en Zunie. L'évangile du high-tech génétiquement modifiés n'est plus vraiment aussi doux à l'oreille. Des « super-mauvaises herbes » résistantes au Roundup envahissent les cultures de Monsanto dans les États du sud, poussant les agriculteurs à utiliser davantage d'herbicides, à abandonner leurs fermes ou... à revenir aux cultures traditionnelles.

     

    ci-contre :  L'Amarante Palmer  ou  " Blé des Incas "

    Dernièrement, à Bruxelles, les potentats non-élus de la Commission européenne ont cherché à passer outre à ce qui a été maintes fois démontré : l'opposition écrasante de la population de l'Union européenne à la propagation des organismes génétiquement modifiés (OGM) dans leur agriculture. Pour entériner sans discussion l'adoption des OGM, le président de la Commission de l'Union européenne dispose à présent d'un expert-comptable maltais en tant que commissaire à la santé et à l'environnement. Originaire de Grèce, l'ancien commissaire à l'environnement était un farouche adversaire des OGM. En outre, le gouvernement chinois a fait savoir qu'il pouvait approuver une variété de riz OGM. Avant que les choses n'aillent trop loin, ils seraient bien de d'examiner de plus près le laboratoire de test mondial des OGM, la Zunie. Là-bas, les cultures d'OGM sont loin d'être bénéfiques. C'est plutôt exactement le contraire.

    Ce qui est soigneusement resté en dehors de la propagande de Monsanto et des autres compagnies de l'agroalimentaire lors de leur promotion des cultures génétiquement manipulées comme alternatives aux cultures classiques, c'est le fait que, jusqu'ici, dans le monde entier, toutes les cultures d'OGM ont été manipulées et brevetées dans l’unique but de deux choses : être résistantes ou « tolérantes » à des produits chimiques brevetés hautement toxiques au glyphosate herbicide que Monsanto et les autres obligent les agriculteurs d'acheter en condition d'acquisition de leurs OGM brevetés et être résistantes à des insectes spécifiques. Contrairement aux mythes de relations publiques dispensés dans leur propre intérêt par les géants de l'agroalimentaire, il n'existe pas une seule semence d'OGM qui ne fournisse un rendement supérieur aux récoltes conventionnelles, ni qui n'ait besoin de moins d'herbicides chimiques toxiques. Pour cette simple raison, il n'y a aucun profit à en tirer.

    Le fléau des super-mauvaises herbes géantes

    Le Dr Mae-Wan Ho, généticienne de renommée mondiale et biophysicienne. (Ses articles de vulgarisation paraissent sur le site de l’Institute of Science in Society.)

    Comme l'a fait remarquer le Dr Mae-Wan Ho, adversaire des OGM et biologiste éminente de l'Institut des Sciences de Londres, les compagnies comme Monsanto incorporent dans leurs semences une tolérance aux herbicides grâce à la formule d'insensibilité au glyphosate du gène codant l'enzyme ciblée par l'herbicide. Lire la suite La catastrophe des OGM en Zunie, une leçon pour l'Union européenne.

     

    Autres liens : 

    1) « Les super-mauvaises herbes ne peuvent être détruites, » ABC News, 6 octobre 2009. Voir aussi, Jeff Hampton, N.C. farmers battle herbicide-resistant weeds (La bataille des agriculteurs de Caroline du Nord contre les mauvaises herbes résistantes aux herbicides)), The Virginian-Pilot, 19 juillet 2009.

    2) Clea Caulcutt, ‘Superweed’ explosion threatens Monsanto heartlands (L’explosion des « super-mauvaises herbes » menace le cœur de Monsanto), 19 avril 2009.

    3) Carolyn Dimitri et Lydia Oberholtzer, Marketing U.S. organic foods: recent trends from farms to consumers (Marketing des aliments biologiques en Zunie : Dernière tendance de l’agriculteur au consommateur), Service de recherche économique du ministère de l’Agriculture, septembre 2009.

    4) International Assessment of Agricultural Knowledge, Science and Technology for Development, IAASTD, 2008.

    5) Dr Mae-Wan Ho, L’étude de la MW UK Food Standards Agency prouve que la nourriture biologique est meilleure. Science in Society 44, 32-33, 2009.

     

     

    (Source : Voltaire net.org  , F. William Engdahl )

     

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    Arnaque à la bourse du carbone de l'ONU

    Les activités du comité des Nations unies qui supervise un mécanisme de 2,7 milliards $ visant à diminuer les émissions de gaz à effet de serre pourraient être ralenties par ce que les écologistes appellent une escroquerie à grande échelle.

    Le comité exécutif du Mécanisme de développement propre (MDP) a affirmé qu'il retenait le financement, sous la forme de crédits de carbone, octroyé à cinq

    fabricants de produits chimiques chinois en attendant de pouvoir enquêter sur les allégations faites par des écologistes européens et américains. Les fabricants de produits chimiques sont payés jusqu'à 100 000$, voire plus, pour chaque tonne d'un puissant gaz à effet de serre qu'ils détruisent. Mais ce gaz est un produit dérivé d'un autre composé chimique sans danger pour la couche d'ozone dont la fabrication est financée par un autre organisme des Nations unies.

    Les écologistes affirment que le système encourage les entreprises à surproduire le produit chimique en question afin de gagner plus d'argent en détruisant son produit dérivé. 

    (Source: news.yahoo.com  )

     

    Après plusieurs alertes le marché des crédits carbone attirent toujours les spéculateurs avides et peux scrupuleux de bénéfices mal aquis.

    Déjà en Avril 2009 Patrick Piro dans un article mettait en garde contre les dérives prévisibles des marchés.

    Une crise des subprimes carbone ?

    Patrick Piro, Politis, 30 avril 2009

    Les entreprises européennes soumises à quotas peuvent couvrir une partie de leurs obligations (jusqu’à 20 % dans certains pays) avec ces « crédits MDP ». Ainsi, un cimentier belge pourra en acquérir à hauteur du - nombre de tonnes de CO2 évitées par un parc éolien qu’il financera en Indonésie, alors qu’une centrale au charbon y était projetée. Mais l’entreprise pourrait être n’importe quel investisseur non soumis à une obligation de réduction d’émissions, désireux de faire commerce de ses crédits : c’est le début d’un marché dit « dérivé », car non immédiatement lié à la finalité de ces « droits d’émission de CO2 ». Toute une ingénierie financière peut alors se développer, spéculant sur la valeur à terme de la tonne de carbone – cotée sur le marché comme le pétrole, le blé, etc. Ainsi, l’investisseur en éoliennes indonésiennes, soucieux de rentabilité immédiate, peut décider de vendre ses crédits avant leur validation (qui peut prendre deux à trois ans), en les mettant sur le marché « à terme » sous forme de « promesses », à un tarif attrayant. Ces titres peuvent ainsi changer de main des dizaines de fois avant d’être acquis in fine par une entreprise soumise à une obligation de réduction d’émissions – une tonne de pétrole est en moyenne revendue 200 fois, au sein de produits financiers divers par exemple, avant d’être effectivement livrée.

    Supposons alors que la Convention climat n’octroie finalement pour les éoliennes indonésiennes que la moitié des crédits allégués par la « promesse » initiale. Ou pire encore : qu’ils aient été fondés sur la plantation d’une forêt (qui fixe le CO2) subitement partie en fumée par accident… Les crédits en circulation deviennent alors du « junk carbon », titres « pourris » dont la valeur subitement effondrée peut déclencher des crises financières, comme celle des « subprimes » immobilières. C’est la menace qu’illustre un rapport que viennent de publier les Amis de la Terre-États-Unis. Les risques de « bulle carbone » explosive restent cependant limités pour l’instant : en 2008, il s’est échangé dans l’Union pour 25 milliards d’euros de quotas d’émissions (aujourd’hui le principal marché de carbone), soit autant qu’en actions lors d’une petite journée à la Bourse de New York. Mais jusqu’à quand ? La Mission climat de la Caisse des dépôts relevait fin 2007 que « le nombre de fonds avec un objectif de plus-value financière a crû davantage que ceux visant à fournir des crédits CO2 pour la conformité des acteurs » c’est-à-dire la couverture des obligations de réduction d’entreprises ou d’États. Un analyste cité par les Amis de la terre, évaluant l’impact de l’irruption programmée des États-Unis sur ces marchés, estime que la finance carbone pourrait déjà constituer, dans quatre ans, le plus gros de tous les marchés dérivés.

     

    (Source :gesd.free.fr  )

     

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  • Tablette de Joas, la mystérieuse pierre de Salomon (vidéo)

    Voici les inscriptions de la tablette de Joas roi de Juda , où figure les détails de la réparation du temple de Salomon . Cette tablette un temps reconnue comme la première preuve en dehors des textes de la Bible de l'existence de Salomon, c’est avérée être un faut réalisé par une équipe de faussaires organisée par Oded Golan .


    Tablette de Joas, la mystérieuse pierre de Salomon 1/3

     

    Tablette de Joas, la mystérieuse pierre de Salomon 2/3

     

    Tablette de Joas, la mystérieuse pierre de Salomon 3/3

     

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