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    NDM-1 Bactérie ultra-résistante: Un Belge est décédé

    Un belge d'origine pakistanaise est décédé en juin après voir été infecté par la bactérie ultra-résistante NDM-1 (New Delhi métallo-beta-lactamase), a rapporté jeudi le site internet du quotidien belge Le Soir , qui cite un microbiologiste interrogé par l'agence Belga. 

    L'homme a été contaminé lors d'un voyage au Pakistan. Cette bactérie dont l'origine a été localisée dans le subcontinent indien, est "horriblement résistante" à presque tous les antibiotiques. Un seul arrive à la vaincre, la "collistine", créée dans les années 50, mais très toxique pour les patients. L'homme était diabétique, il avait été "victime d'un accident de voiture" au Pakistan. "Hospitalisé sur place pour une importante plaie à la jambe, il a ensuite été rapatrié en Belgique" a expliqué le Docteur Denis Piérard, microbiologiste à l'hôpital AZ VUN. Malgré l'administration de la "collistine", l'homme est décédé. La Bactérie peut causer des infections urinaires, abdominales, pulmonaires ou des plaies ouvertes. Le médecin estime qu'actuellement on ne peut être infecté par cette bactérie qu'en milieu hospitalier indien ou pakistanais.

    (Source : lejdd.fr )

     

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    WikiLeaks prévoit de diffuser 15 000 nouveaux rapports

     
    Le cofondateur et porte-parole de WikiLeaks, Julian Assange, a déclaré jeudi que le site Internet, spécialisé dans la publication de documents confidentiels, prévoyait toujours de rendre publics environ 15 000 nouveaux documents militaires confidentiels sur la guerre en Afghanistan. Julian Assange, dont les déclarations étaient retransmises par vidéoconférence à Londres, a indiqué que le site se préparait à diffuser ces documents, malgré la demande du Pentagone, la semaine dernière, de rendre les milliers de documents déjà publiés et de ne pas en diffuser d'autres.

    "On en est déjà à 7 000 documents", a-t-il dit sans révéler la date à laquelle ils seraient publiés. Le site a été vivement critiqué pour avoir rendu publics, dans les 76 000 rapports déjà publiés, les noms d'Afghans travaillant avec les forces de la coalition, les exposant à des représailles des talibans. Plusieurs ONG, dont Amnesty International et Reporters sans frontières, ont jugé ces derniers jours l'attitude de WikiLeaks "irresponsable", rejoignant sur ce point le Pentagone et la Maison Blanche.

    Julian Assange s'était défendu en expliquant qu'il avait sollicité de l'aide pour analyser ces dizaines de milliers de documents et supprimer les noms de contacts afghans, mais que ni les ONG, ni, "malgré nos demandes répétées, la Maison Blanche ni le Pentagone", n'avaient accepté d'aider le site à réaliser ce travail – ce que l'armée américaine dément. Dans un premier temps, le site avait expliqué avoir contacté le Pentagone par l'intermédiaire du New York Times. En début de semaine, le site avait lancé un appel aux dons envers ses soutiens, expliquant avoir besoin de 700 000 dollars pour analyser les documents.

    Le contenu exact des 15 000 documents est inconnu. Lors de la publication du premier lot de rapports, WikiLeaks avait expliqué avoir mis de côté ces fichiers pour "diminuer les dégâts qu'ils pourraient causer, à la demande de [leur] source". Mais le site n'a pas expliqué précisément pourquoi ces documents avaient été écartés.

     

    (Source : lemonde.fr )

     

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    Article Rédigé par : Paul-Eric Blanrue  
                                 Historien et Fondateur du Cercle Zététique
     

    En France, un écrivain, père de huit enfants est incarcéré pour ses recherches historiques. Et la presse dite <<libre>> n'en parle pas

    Né en 1969, marié et père de 8 enfants, le Français Vincent Reynouard est ingénieur chimiste de formation, issu de l'ISMRA (Institut des sciences de la matière et du rayonnement atomique) de Caen. Il se présente volontiers comme catholique traditionaliste et ne cache pas ses opinions politiques ultra-conservatrices. Mais, surtout, il conteste publiquement, sous la forme de DVD et d’écrits, la version classique de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. ll fait partie de ces chercheurs se proclamant « révisionnistes » et qualifiés de « négationnistes » car ils ne croient pas à l’existence des chambres à gaz homicides dans les camps de concentration allemands.

    En 2005, Reynouard écrit et envoie à des syndicats d'initiative, des musées et des mairies un fascicule de 16 pages intitulé « Holocauste? Ce que l'on vous cache », dans lequel il prend le contre-pied de l’histoire académique. La justice française s’abat aussitôt sur lui.

    En première instance, il est condamné, en 2007, par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) à 1 an de prison ferme, 10.000 euros d'amende et 3.000 euros de dommages et intérêts pour la LICRA. En appel, en juin 2008, la Cour de Colmar confirme la peine de prison et le condamne à un total de 60.000 euros (20.000 euros d'amende + publications forcées et frais divers). Du jamais vu.

    Comme Reynouard réside en Belgique, la France lance contre lui un mandat d'arrêt européen pour l'obliger à purger la peine de 1 an de prison ordonnée par la Cour d'appel de Colmar. Le 9 juillet dernier, il est emprisonné par la police belge, en attendant son extradition en France. Ce qui fait dire à l’intéressé : « Quand on ne songe qu’à la mise en prison pour se débarrasser d’un contradicteur, c’est qu’on n’a pas d’arguments. »

    Conclusion : un homme de 41 ans, père de 8 enfants, est actuellement emprisonné pour ses recherches historiques, en raison de la loi Gayssot.

    Cette loi, promulguée au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990, interdit, dans son article 24bis, le fait de « contester (…) l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité tels qu’ils sont définis par l’article 6 du statut du tribunal militaire international [dit de Nuremberg] annexé à l’accord de Londres du 8 août 1945. »

    Dans mon livre Sarkozy, Israël et les juifs (Oser dire, 2009), j’ai rappelé que cette loi liberticide a été vivement critiquée par des personnalités comme l’académicienne française Simone Veil ; le Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Hélène Carrère d'Encausse ; les ministres Jean Foyer, Jacques Toubon, Alain Peyrefitte ; les historiens Henri Amouroux, Pierre Vidal-Naquet, Annie Kriegel, François Furet, Alain Besançon, Jacques Willequet et François Bédarida ; la fondatrice de l’Institut de recherche Hannah Arendt, Chantal Delsol ; le prix Nobel d’économie 1988, Maurice Allais ; les écrivains Michel Tournier, Louis Pauwels, Michel Houellebecq, Philippe Muray, Jean Daniel, Vladimir Volkoff, Michel Rachline et Alain Robbe-Grillet ; les magistrats Philippe Bilger, Alain Marsaud et Raoul Béteille ; les juristes Olivier Duhamel, Anne-Marie Le Pourhiet, Emmanuelle Duverger, André Decoq et Guy Carcassonne ; les avocats Jacques Vergès et John Bastardi Daumont ; le philosophe Paul Ricoeur ; l’humoriste Bruno Gaccio ; des défenseurs de la liberté d’expression comme le fondateur de Reporters sans frontières Robert Ménard (qui la dénonce comme une « police de la pensée ») et Gabriel Cohn-Bendit ; les journalistes Dominique Jamet, Delfeil de Ton, Alain Rollat, Albert du Roy, Philippe Tesson, Jacques Julliard et Ivan Rioufol ; ou encore l’ancienne présidente de la Ligue des droits de l’homme, l’historienne Madeleine Rebérioux. À l’étranger, le linguiste américain Noam Chomsky s’en est déclaré l’adversaire absolu. Pour le physicien et intellectuel belge Jean Bricmont, « la loi Gayssot est une régression juridique de plusieurs siècles ». Les présidents Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadnedjad ont, quant à eux, condamné sévèrement cette répression.

    Il nous incombe désormais de défendre la libre expression dans les faits et non plus seulement en théorie. Pourquoi n’entend-on personne dénoncer publiquement le sort réservé à Vincent Reynouard ? Que font Reporters sans frontières, Amnesty International et Human Rights Watch ? Aucun média, ni français ni étranger, n’a informé l’opinion de cette affaire. Un tel silence est anormal.

    Personnellement, j’ai décidé de réagir en tant qu’historien et citoyen, et de faire savoir, par ce communiqué, combien je suis révolté par le fait que, chez nous, on jette en prison un homme pour ses opinions, aussi insolites, stupéfiantes et controversées soient-elles. Un tel traitement est indigne de la France et de sa tradition intellectuelle. La loi n’a pas à intervenir dans la définition de la vérité historique : dans un État libre, cette fonction est celle des historiens. La loi Gayssot, qui restreint la liberté du chercheur, est contradictoire avec la notion d'État démocratique ; c’est une loi scélérate. Je demande en conséquence son abrogation immédiate.

    J’espère être bientôt rejoint par des dizaines, des centaines, des milliers d’autres personnes ne pouvant rester indifférentes face à ce scandale qui nuit gravement à l’image de la France et bafoue l’esprit de la République.

    Celles et ceux qui veulent cosigner avec moi ce communiqué peuvent m’envoyer leur nom et leurs coordonnées à cette adresse : eugenie.blanrue@laposte.net. Il ne s’agit pas de soutenir les idées religieuses, politiques ou historiques de Vincent Reynouard, mais de défendre son droit à les exprimer. Pour les contester, il suffit d’un débat démocratique, ouvert, franc et loyal.

    Nous ferons le point sur ces signatures à la fin du mois de septembre prochain.

     

    Rédaction : Paul-Eric Blanrue  

     Historien, Fondateur du Cercle Zététique

     

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    Dr Petiot le tueur en série était aussi agent américain

       

    Le Docteur Petiot, l'un des pires tueurs en série français du XXe siècle, était également un informateur des services secrets américains. Des documents déclassifiés démontrent les liens qu'entretenait le psychopathe avec les services de renseignement de l'Oncle Sam. L'anecdote a de quoi surprendre. Au cours de la seconde guerre mondiale, époque à laquelle la folie meurtrière de Marcel Petiot s'est exprimée dans toute son horreur, le Pond, les services secrets américains avant la création de la CIA, ont utilisé le médecin parisien comme informateur. 

    <documents font="">L'anecdote a de quoi surprendre. Au cours de la seconde guerre mondiale, époque à laquelle la folie meurtrière de Marcel Petiot s'est exprimée dans toute son horreur, le Pond, les services secrets américains avant la création de la CIA, ont utilisé le mèdecin parisien comme informateur.

    C'est sous l'occupation que Marcel Petiot est contacté par le Pond qui le considérait comme "un informateur de qualité en raison de ses réseaux". Le Docteur Petiot préparait des rapports qu'il remettait à des agents sous couverture basés à Paris. A la même époque, il menait en parallèle une toute autre vie.

    Le Docteur Petiot avait fait de son hôtel particulier un cabinet des horreurs dans lequel il torturait et assassinait ses victimes, pour la plupart des Juifs à qui il promettait un moyen de quitter la France. Il a été condamné à mort en 1946 pour 27 assassinats ; lors de son procès, il en a revendiqué 63 !

     

    (Source : 24heuresactu.com )

     

    Article associé sur :

    Associated Presse : Avant la CIA , il y avait l'Etang

    Réseau Voltaire : La Mare (1942-1955), un service secret privé financé par Washington

     

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  • Actualité Esotemyst

    Les incendies Russe, un risque radioactif pour la france ?

    Les incendies en Russie pourraient provoquer, comme en 2002 lors des feux gigantesques connus par le pays, une élévation de la radioactivité de l’air en France. En cause : les terres encore contaminées du site nucléaire de Tchernobyl touché par une explosion en 1986, qui peuvent relâcher dans l’air leurs particules polluantes de césium 137 radioactif à cause de la combustion des bois. <btn_noimpr></btn_noimpr>

    Le césium 137 en cause. « Si l’incendie touchait les zones les plus contaminées de Tchernobyl, du césium 137 sera forcément remis dans l’air et si les vents sont défavorables on aura une bouffée de césium qui nous parviendra comme en 2002 où on a eu deux vagues contaminantes », explique Philippe Renaud, chef du laboratoire d’expertise de la radioactivité environnementale de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Le césium 137 est le principal élément dispersé en Europe lors de l’incident de Tchernobyl. Stocké dans le bois des arbres, il se libère dans les fumées en cas de combustion.

    Une radioactivité cinq fois plus forte. « En 2002, on est monté à 1,5 microbecquerel (µBq)/m3 d’air alors que la radioactivité normale de l’air en France est entre 0,3 et 0,4 µBq/m3 soit 5 fois plus, poursuit l’expert. On pourrait même arriver ici à des niveaux supérieurs à 2002 si le feu se rapprochait des zones irradiées. » Selon lui : ça n’est qu’à partir de 1000 µBq/m3 que la situation mérite attention. Lors de Tchernobyl, on a atteint en France 10 Bq/m3. « On pourrait être exposé à 1000 fois plus de radioactivité qu’en 2002 », estime pour sa part Roland Desbordes, président de la Criirad, commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité.

    Le risque pour la santé. « A ces niveaux-là de radioactivité, le risque sanitaire est minime, poursuit l’expert de la Criirad. La différence d’avec 2002 est que les iodes et les gaz radioactifs qui se sont échappés à l’époque ont disparu, les conséquences sont moindres car ce sont les iodes qui sont responsables des pathologies thyroïdiennes. Il peut rester néanmoins du strontium 90, un élément chimique qui se fixe sur les os des enfants. » L’Observatoire du nucléaire juge que la contamination peut entraîner un fort risque de cancer.

    Une situation évolutive. « Il faut attendre plusieurs jours pour savoir si la radioactivité en France peut s’élever, insiste Roland Desbordes. C’est sans compter le risque que représente aussi le site nucléaire de Sarov, à 500 km à l’est de Moscou, d’où les autorités russes affirment avoir évacué les matériaux radioactifs. »

     

    (Source : leparisien.fr )

     

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