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    Facebook, pour le Bien comme pour le Pire

     

    Je ne manque jamais une occasion de vous rappeler que le "Réseau Social" peux rendre service mais, qu’il peux aussi être source de désagréments . Laisser ses informations personnelles sur la toile n’est pas une "action anodine" . Voici deux exemples FaceBook qui illustres superbement mes propos. Le Bien et le Pire . (Esotemyst)

     

    Le Bien : Grande-Bretagne - Une jeune femme a joué les détectives et retrouvé la personne qui l'avait agressée : c'est sur le site de réseau social Facebook qu'elle a mené l'enquête, alors que la police avait échoué à arrêter cette personne. C'est alors qu'elle se trouvait dans une boîte de nuit que Jenifer Wilson, 20 ans, a été agressée par Mlle Holliman, qui lui a jeté son verre au visage avant de quitter les lieux. Mlle Wilson a été blessée à moins d'un centimètre de l'oeil gauche, ce qui aurait pu la laisser aveugle d'un oeil. La police qui a enquêté sur l'agression a été incapable de retrouver la coupable en raison d'un manque de visibilité sur les vidéos des caméras de surveillance. Mlle Wilson a alors décidé de mener elle-même son enquête. Reconnaissant sur Facebook un homme qui, ce soir là, se trouvait en compagnie de la femme qui l'avait agressée, elle a réussi à retrouver la trace de celle-ci. Jenifer est même parvenue à trouver l'adresse de son assaillante par le biais d'une amie qu'elles avaient en commun sur le site.

    Le Pire : Québec, Canada - Nathalie Blanchard était en arrêt maladie après avoir été diagnostiquée comme souffrant d'une dépression. Étant en arrêt de travail, elle percevait chaque mois des indemnités. Après avoir publié des photos sur Facebook, elle a vu ses indemnités lui être retirées, sa compagnie d'assurance la jugeant suffisamment "heureuse" pour reprendre son activité. Nathalie Blanchard travaille pour l'entreprise IBM lorsqu'elle reçoit de son médecin un arrêt de travail d'une durée importante, afin de soigner une dépression. Le professionnel de santé qui la suit lui préconise alors de partir en vacances dans un endroit agréable et ensoleillé, afin d'oublier ses soucis. Une fois rentrée de ses quelques jours de vacances, la jeune femme de 29 ans publie quelques photos sur son profil Facebook, profil fortement restreint.Alors qu'elle constate que le versement de ses indemnités est suspendu, elle appelle son assurance qui lui indique alors qu'elle apparait suffisamment "heureuse" sur les clichés publiés sur le site de réseau social, que l'assurance estime qu'elle peut alors reprendre le travail.

    (Source : zigonet.com)

     

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