•  
     
    Article rédigé par Claudec
     

    Les clathrates, plus dangereux que le nuage de cendre d'Islande

    Cette éruption volcanique, ses dangers, assortis de la gêne (passagère ?) qui en découle, devraient nous rendre plus attentifs à d'autres émanations qui, pour être moins visibles ne peuvent en être que plus traîtresses et dangereuses, au point de pouvoir être à l'origine de disparitions inexpliquées aussi bien d'aéronefs que de navires, et ceci particulièrement depuis qu'existe le moteur à explosion. Il s'agit de l'émanation de méthane provoquée cà et là de par le vaste monde, à partir de bouleversements occasionnels, le plus souvent insoupçonnés, de fonds marins, déclanchant la production puis l'évaporation, à partir de gisements de clathrates, de gigantesques masses de méthane, gaz éminemment volatile et inflammable qui, par simple effet de convection, après avoir gagné la surface

    des océans, traverse l'atmosphère pour aller participer à l'effet de serre, sauf s'il rencontre en route la moindre étincelle. il est facile d'imaginer ce qui peut arriver si cette étincelle est produite par les réacteurs d'un avion, les moteurs d'un navire, ou la braise de la cigarette d'un passager nonchalamment accoudé à un bastingage. Même le fameux Flying Dutchmann pourrait être dans le coup, bien que de manière moins explosive. L'explosion n'est pas la seule chose à craindre en effet. Le méthane ayant des effets soporifiques, des individus soumis à son inhalation peuvent d'abord s'endormir puis succomber par asphyxie si l'hinalation du gaz se prolonge. Un changement des caractéristiques de la couche d'eau traversée par le gaz de méthane pour atteindre sa surface modifient par ailleurs les conditions dans lesquels un navire peut y flotter, d'où le risque pour celui-ci de sombrer subitement s'il vient à traverser une zone dont le gaz modifie ainsi sensiblement la densité.
    Curieux que personne n'en parle. Non ?
    Pour ceux que le sujet pourrait intéresser, il leur suffit d'interroger n'importe quel moteur de recherche sur le Net en tapant "clathrates" ou "hydrates de méthane", par exemple, ou de s'inscrire au groupe de discussion sur les
    clathrates

     

    Rédaction : Claudec 

     

    Réagissez: sur le       ...

    Ou Commenter ci dessous l'Article .


    1 commentaire
  • Actualité Esotemyst

    Israel: Tel-Aviv un mystérieux objet tombé du ciel

    Actualité Proposé par: phocelte

    Tel-Aviv, Israël -  Samedi 24 avril est tombé du ciel un mystérieux objet sur une plage de Tel-Aviv. Si on ne sait pas quel est cet objet, une description a été donnée, celle d’un caillou noir incandescent.

     

    Si les Israéliens ont d’abord pensé à une chute d’une météorite, cette hypothèse a immédiatement été écartée par l’Institut géologique de Jérusalem. Pour la professeur Faïna Gilman, "Il ne s’agit pas d’une météorite ou d’un Ovni mais bien d’un produit fabriqué par l’homme". Et l’AFP de préciser que c’est samedi matin que l’objet est tombé sur la plage de Bat Yam, apeurant quelques baigneurs se situant là. L’objet a été décrit comme de consistance spongieuse, ressemblant à un gros caillou.

    Un sauveteur présent sur place explique : "J’étais dans l’eau et j’ai vu quelque chose de noir tomber sur le sable, à quelques mètres de moi, puis commencer à brûler". Le sauveteur aurait alors saisi l’objet avec des ustensiles, afin de le plonger dans l’eau. L’opération a dû être reproduite plusieurs fois car une fois sorti de l’eau et reposé sur le sable, l’objet mystérieux se remettait alors immédiatement à brûler. Et le professeur Gilman de préciser à l’Agence France Presse : "Apparemment, nous parlons d’un carburant à base de phosphore. Mais nous poursuivrons nos examens".

     

    (Source : zigonet.com )

    Actualité Proposé par: phocelte

     

    Réagissez: sur le       ...

    Ou Commenter ci dessous l'Actualité .


    votre commentaire
  •  
    Les Enigmes de l'Histoires  HS N°01

     

    Les Enigmes de l'Histoires  HS N°01

     

    Avril 2010

    Parution le 27 04 2010

     Sommaire:

     - Les Pyramides d'égypte, Mu, l'Atlantide ou l'existence d'une Civilisation-mère disparue

     - Mystérieuse cité sous-marine à Cuba: La plus ancienne civilisation du monde ? 

     - Les Mystères d'une civilisation inconnue à Mohenjo Daro. La civilisation de l'Indus et ses étonnantes technologies.

     - Atlantide géologie et mythe dans le Détroit de Gibraltare.

     - Hyperborée.

     - Les pays perdus de Mu et de la Lémurie.

     - Les Civilisations Mésoaméricaines disparues ont elles été créées par des "ancien Astronaut"

     

    Réagissez: sur le       ...

    Ou Commenter ci dessous les Actualités Magazines .


    votre commentaire
  • Actualité Esotemyst

    Les autorités minimiseraient la dangerosité des algues vertes?

    Convaincu des liens de causalité entre les algues vertes et le décès du chauffeur Thierry Morfoisse en 2009, le docteur Claude Lesné (CNRS), spécialiste des polluants aériens à la faculté de médecine de Rennes-I, revient sur la plainte de la famille Morfoisse et en appelle à la mobilisation des pouvoirs publics. Pourquoi l'autopsie pratiquée sur le corps de M. Morfoisse n'a-t-elle pas permis de déterminer avec certitude les causes de sa mort?

    Claude LESNE: Je n'explique pas du tout la position du procureur. Pour moi, il ne fait absolument aucun doute que l'exposition de M. Morfoisse à une dose importante d'hydrogène sulfuré (H2S), gaz dégagé par les algues, lui a été fatale.

    Il faut savoir que l'H2S est un poison de la respiration cellulaire, qui bloque l'oxygénation des tissus musculaires, notamment ceux du coeur. Et ce manque d'oxygène provoque un infarctus, d'autant plus lorsqu'on sait que M.Morfoisse présentait originellement des artères endommagées.

    Les autorités publiques minimiseraient-elles sciemment la dangerosité des algues vertes?

    La position officielle de l'Etat a longtemps été de sous-estimer la gravité potentielle des algues vertes, voire de nier la réalité. Dès 2008, j'avais alerté publiquement sur la forte concentration en H2S des algues vertes en décomposition.

    Ce n'est qu'après les accidents survenus en 2009, avec l'intoxication aigüe d'un cavalier et la mort foudroyante de son cheval, que la dangerosité des algues vertes en décomposition a commencé à être prise au sérieux par les autorités...

    Quelle est l'ampleur des risques encourus lorsqu'on inhale de l'H2S issu des algues en décomposition?

    Tout dépend du taux d'hydrogène sulfuré que l'on inhale, et qui se mesure en parties par million (ppm). Pour vous donner une idée, lorsqu'en août 2009, François Fillon est venu sur la plage de Saint-Michel-en-Grève (22) pour faire un point sur la situation, les mesures officielles avaient montré que le taux d'H2S des algues en décomposition présentes atteignait 1000 ppm, ce qui est considérable!

    Avec un tel taux, tout individu bien portant peut être victime d'une intoxication suraigüe, mortelle en quelques minutes. A partir de 500 ppm, il risque un œdème aigu du poumon ou un accident cardiaque. Par ailleurs, une seule exposition durant trente minutes à un taux de 2 ppm suffit à un asthmatique pour déclencher une crise.

     

    (Source : lexpress.fr )

     

    Réagissez: sur le       ...

    Ou Commenter ci dessous l'Actualité .


    votre commentaire
  • Actualité Esotemyst

    GIEC: encore mis en cause sur le Bangladesh

    Une nouvelle étude publiée jeudi au Bangladesh met en doute les travaux du Groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (GIEC), affirmant que les prévisions alarmistes sur la hausse du niveau des eaux, dans son rapport 2007, sont exagérées. Le GIEC, déjà critiqué pour des erreurs dans son rapport 2007, estime qu'une hausse du niveau de la mer de 1 mètre inonderait 17 % du Bangladesh et créerait 20 millions de réfugiés d'ici à 2050. Après la publication de cette prévision, le Bangladesh a été unanimement considéré comme faisant partie des Etats risquant le plus de pâtir des conséquences du réchauffement de la planète.

    Mais, souligne une nouvelle étude financée par la Banque asiatique de développement, la prévision ne tient pas compte du rôle que pourraient jouer au moins 1 milliard de tonnes de sédiments, charriés par les rivières de l'Himalaya jusqu'au Bangladesh chaque année, pour contrer la hausse du niveau des eaux. "Les sédiments façonnent les côtes du Bangladesh depuis des milliers d'années", relève Maminul Haque Sarker, directeur du Centre pour les services d'information sur l'environnement et la géographie, situé à Dacca, qui a dirigé les recherches pour cette étude.

    "UNE VISION OBJECTIVE"

    De précédentes "études sur les effets du changement climatique au Bangladesh, dont celles citées par le GIEC, n'ont pas pris en compte le rôle des sédiments dans le processus d'ajustement des côtes et rivières à la hausse du niveau de la mer", a-t-il expliqué. "Selon les découvertes de l'étude, il apparaît que la majorité du littoral, notamment l'estuaire de Meghna, l'un des plus grands du monde, s'élèvera au même rythme que celui du niveau de la mer", a-t-il ajouté. Selon lui, l'étude montre que les phénomènes d'inondation vont changer en raison de la hausse de la montée des eaux, "mais ils seront moins importants que ce qui a été prédit" par le GIEC et d'autres études.

    Le chef du GIEC, l'Indien Rajendra Pachauri, a défendu son organisation contre cette nouvelle polémique. "On ne peut pas parvenir à des conclusions sur la base d'une seule étude, a-t-il déclaré. Le GIEC examine une série de publications avant d'avoir une vision objective de ce qui risque de se produire."

    "LA SCIENCE ÉVOLUE"

    M. Pachauri a cependant indiqué que les conclusions des nouvelles recherches publiées au Bangladesh seraient prises en compte dans leur prochaine étude. "La science évolue. Dans une grande partie du monde, il n'y a pas assez de recherche, nous accueillons donc avec plaisir cette étude", a-t-il souligné. Cette mise en cause intervient quelques mois seulement après de précédentes critiques concernant des prévisions sur la fonte des glaciers de l'Himalaya, dans son rapport 2007, lequel a valu au GIEC le prix Nobel de la paix.

    Le GIEC avait estimé que les glaciers de l'Himalaya reculaient plus vite que d'autres et "pourraient disparaître d'ici à 2035, voire avant". Ces estimations ont été jugées excessives et fondées sur des sources peu sûres par des scientifiques et hommes politiques sceptiques sur le réchauffement climatique. Rajendra Pachauri avait dû reconnaître une "regrettable erreur" provenant de "procédures établies qui n'ont pas été correctement suivies", tout en assurant que la conclusion générale du rapport était "solide".

     

    (Source : lemonde.fr )

     

    Réagissez: sur le       ...

    Ou Commenter ci dessous l'Actualité .


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires